
ABDALLAH GASMI
J’ai construit mon trône dans mon poème
1
J’emporte un flambeau de tristesse.. Mon ombre glisse derrière
Etreins mon sang
Je veux partager le monde avec vous
2
Pas des ailles pour le désir …
Déverse la délicieuse douleur dans mes veines
Le soleil que se lève de tes lèvres, brûle l’air entre mes côtes
3
ma chérie apparaît comme un cerf sauvage
m’a volé En plein jour ma prophétie
Ramasse le fleure de mon âme et danse autour de ma blessure
4
L’univers est triste que moi
Porter une montagne froide et un nuage au dessus de mon épaule
je errant solitaire autour des frontières de la galaxie..
chercher un dieu étrange comme moi..
Réveil l’aube endormie entre les paupières de mon amour.. Brille l’obscurité les rêves en moi
5
Le poète exilé à l’intérieur de moi sort, et assis dans les jardins de mon tristesse froide, il peint dans le lointain horizon brulé une étoile verte
libérer les oiseaux du rêve..
Étendez toutes les visions
Réingénierie des couleurs
Il rend l’eau et le feu des frères
……………………………
Je me souviens de la forme de mon exotique: ma langue est en cire et ma langue me brûle
Ma langue n’est pas une forêt jaune
Je peux maintenant emmener les mouettes en croisière
Je peux maintenant embrasser les douleurs de l’univers en moi
Ma langue est en cire et ma langue me brûle
Joyeux au poète, je suis l’exil dans mon corps , libère les papillons de l’amour au feu
Je bénévole les éléments de la création à mes lois
Gloire à moi.. Je Vieilli encore le poésie et de l’adoration jusqu’à ce que le dieu folle soit manifestée
(Je suis toujours friand des lumières.. jusqu’à les lumières m’a apparu)
Je brûlais d’amour, j’étais un dieu, je construis mon trône dans mon poème